CRACK, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1854, 17 sept. turf. (
Dillon,
Sport, p. 2, col. 3 ds
Bonn.); 1892, 9 déc. p. ext. « champion (d'un sport quelconque) » (
Rousseau,
Vélo, p. 1, col. 1,
ibid.). Subst. angl.
crack « ce qui est digne d'éloge, exceptionnel » employé d'abord en parlant d'un cheval (1637 ds
NED) puis d'un joueur; déverbal de
to crack up « faire l'éloge de quelqu'un, le vanter »,
to crack signifiant proprement « faire du bruit en cassant, en craquant » d'où « prononcer à voix haute; fanfaronner, se vanter »
(NED), v. aussi
craquer.