| COUTURER, verbe trans. Étymol. et Hist. A. xves. [ms.] cousturer « coudre » (L'Ord. de cheval., Ars. 3240, fo6 rods Gdf.) − xvies. couturer (B. Desmarins, Le Rousier des Dames ds Anc. poésies fr., t. 5, p. 202). B. Av. 1787 couturé adj. « couvert de cicatrices » (Rétif ds Fér. : Affreusement coutûré, il n'a pas de nez); 1833 couturer « couvrir de cicatrices (en parlant d'une blessure) » (Balzac, Marana, p. 62). Dér. du rad. de couture*; dés. -er, suff. -é*. |