CASSEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. xiiies.
quassement « action de casser » [ici fig. « fléau, colère divine »] (
Lib. Psalm., CV, p. 333 ds
Gdf. Compl.); 1845
cassement de tête « soucis causés par des difficultés » (
Besch.);
2. 1389-92 au propre
cassement « action de briser » (
Reg. du Chât., II, 240 ds
Gdf. Compl.) −
xvies. ds
Hug.; attesté à nouv. au début du
xixes. : 1801-05 (
Stendhal,
Journal, t. 1, p. 164);
Lav. 1820 le considère comme inusité; 1765 spéc. hortic. (
Encyclop. t. 17, p. 761a). Dér. du rad. de
casser* « briser »; suff.
-(e)ment1*.