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schizose n.f. PSYCHOPATHOL. - TLF, cit. Garnier-Del., 1958 ; PR[77], v. 1965 ; GLLF, 1968, Lar.
Add.DDL
*1933 - «[...] la malade opéra un mouvement brusque de régression, perdit jusqu'à la petite activité extérieure qu'elle avait et se mit au lit. Mademoiselle H... affectait un comportement infantile ; elle répétait comme une enfant de trois ans : 'Où est mon coco ? J'avais un bon coco dans mon armoire !' [...] La malade était alors dans un état tel qu'on pouvait parler de schizose B.R. Jouve et P.J. Jouve, Moments d'une psychanalyse, in NRF, numéro 234, mars, 368 - P.E.
schizose n.f. PSYCHOPATHOL. - TLF, cit. Garnier-Del., 1958 ; GLLF, 1968, Lar.
Compl.GR (1926, H. Claude)
1926 - «La démence précoce ne se développe pas sur le terrain schizoïde que nous étudierons plus loin, elle ne se relie pas en général à un épisode affectif, à une perturbation dans la condition sociale du sujet [...] Mais c'est surtout par l'opposition avec les divers aspects des 'schizoses' que nous estimons que la différenciation apparaît justifiée.» H. Claude, A propos de la schizoïdie et de la schizophrénie, in Annales médico-psychol., I, 340 - M.C.
1926 - «Admettant sans restriction la distinction faite par Claude sur le terrain clinique entre la démence rapide et globale des jeunes gens et les états de schizose, il [Bleuler] rappelle la conception de son maître Régis de la démence précoce, confusion mentale chronique (syndrome de Régis) et précise la diagnose différentielle pratiquement indispensable entre les névrosés et la psychasthénie ou l'hystérie préschizophrénique.» A. Hesnard, in Annales médico-psychol., II, 262 - M.C.