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favoris n.m. pl. COIFF. "touffe de barbe" - TLF, 1824, Balzac ; FEW (3, 440a), GLLF, 1829, Boiste ; L, DG, PR[73], ø d.
Add.DDL
*1828 - «[...] cet homme, dont les favoris épais et le teint basané [...] un détenu [...] coupe à tous les forçats les cheveux et les favoris [...]» Vidocq, Mém. de Vidocq , I, 96 et 226 (Tenon) - Fr. mod., 41, 296.
favoris n.m. pl. COIFF. "touffe de barbe" - TLF, v. 1700, J. Quicherat ; DDL 9, 1828, Vidocq ; FEW (3, 440a), GLLF, Lex.[75], 1829, Boiste ; R, cit. Balzac ; L, DG, PR[77], ø d.
*1786 - «Ils avaient chacun sur la tête un serre-tête de toile d'Hollande magnifique, qui emboëtait pleinement leurs papillottes, leur toupet, leur catogan ou cataquoi, leurs oreilles, & leurs favoris. Favori, c'est une espèce de petite frisotterie, qui accompagne les joues & qui rend beau comme tout.» Beffroy de Reigny, Les Lunes du Cousin Jacques, n° 19, sept., 66 - P.E.
*1806 - «Nous sommes allés faire un tour au Cours, après quoi she has coupé to me les favoris [...]» Stendhal, Journ., II, 201 (Gallimard) - P.E.
favoris n.m. pl. COIFF. "touffe de barbe" - absent TLF.
Add.DDL 15 (1786, Beffroy de Reigny)
*1827 - «Les cheveux poussent quelquefois d'une manière bizarre : tantôt ils s'avancent sur le milieu du front en toupet, tantôt ils descendent le long des oreilles, en manière de favoris, comme aux hommes [...]» Mme Celnart, Man. des dames ou L'Art de la toilette, 12 (Roret) - M.C.E.
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