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délire n.m. PSYCHOPATHOL. - TLF (deslere), 1478, Chauliac ; ND1, PR[67], BW5, 1538 ; L, AD, 16e ; DG, 1642.
1537 - Canappe,  4e livre de la Méthode thérap. - P. Méd., 57, 579.
Compl.FEW (1586) :
1586 - «Un delyre, une fureur ou quelque autre maladie future.» Le Loyer,  Hist. des spectres, 424 (1605) - RHL, 9, 480.
délire v.tr. ACTION  "cesser de lire" - absent TLF.
Compl.FEW (1852, Flaubert) :
1852 - «En fait de lecture, je ne dé-lis pas Rabelais et Don Quichotte, le dimanche avec Bouilhet. Quels écrasants livres !» Flaubert,  Corresp., let. à L. Colet, 22 nov., III, 53 (Conard, 1927) - J.S.
délire cinématographique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1923 - «Nous pouvons donc assurer [...] que le cinéma est susceptible de procurer des motifs de délire à certaines classes d'aliénés, et de créer un syndrome spécial et bien défini, que nous proposons de désigner sous le nom de délire cinématographique.» F. Gorriti, Délire hallucinatoire cinématographique, in L'Encéphale, juill.-août, 463 - M.C.
délire d'auto-accusation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - TLF, 1963, Piéron ; Rs, GLLF, ø d. auto-accusation : TLF, 1903, Jannet ; GLLF, Lex.[75], 1928, Lar. ; Rs, PR[77], 1933 ; R, ø d.
1916 - «auto-accusation (délire d'). Variété de délire qui consiste [...] à se dire coupable et à s'accuser [...]» Garnier et Delamare, Dict. des termes techniques de méd., 59 (6e éd., Maloine) - P.E.
délire d'auto-accusation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - DDL 15, 1916, Garnier-Del. ; TLF, 1963, Piéron ; GLLF, GR[85], ø d ; in Garnier-Del. [1912].
Add.DDL :
*1900 - In titre : Dr P.-A. Oudard, Le Délire d'auto-accusation. Etude médico-légale, Thèse (Bordeaux), cité in Annales médico-psychol., I, 495 (1901) - M.C.
délire d'auto-accusation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - DDL 29, 1900 ; TLF, 1963, Piéron ; GLLF, GR[85], ø d.
1899 - J. Séglas, Le délire systématique d'auto-accusation, in Congrès des médecins aliénistes et neurologistes [...] Angers, 617-23 (Angers, Lachèse et Cie) - Fr. mod., oct. 1988, n° 3/4, 284.
délire d'auto-dénonciation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1912 - «Voir : auto-accusation (délire d'-).» Garnier et Delamare, Dict. des termes techniques de méd. (5e éd., Maloine) - M.C.
délire d'imagination loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF ; in Dabout [1924].
1910 - «[Lors du dernier Congrès des Aliénistes et Neurologistes de langue française, à Bruxelles-Liège (août 1910), nous avons proposé de désigner, sous le nom de Délires d'imagination, des délires intéressant, d'une manière élective, l'imagination reproductrice et surtout créatrice.]» In Dupré et Logre, Les délires d'imagination, in L'Encéphale, I, 209 (1911) - M.C.
délire d'influence loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - GLLF, 1962, Lar. ; TLF, ø d ; in Dabout [1924].
1920 - In titre : Ph. Chaslin et T. Alajouanine, Un cas de délire d'influence obsédant, Soc. de psychol., juin, in Journ. de psychol., 17e année, 945 - M.C.
1921 - In titre : Laignel-Lavastine et Alajouanine, Délire d'influence et psychose familiale, Soc. de psychiatrie de Paris, 20 janv., in Journ. de psychol., 18e année, 265 - M.C.
délire d'interprétation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - Lex.[79], GR[85], 1909 ; GLLF, déb. 20e ; TLF, cit. Mounier, 1946.
1904 - In titre : P. Sérieux et J. Capgras, Le délire d'interprétation, in R. de psychiatrie, juin, numéro 6 - M.C.
délire de (la) jalousie loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF ; in Piéron [1963].
1902 - «Les développements que donnent les auteurs à la fin de la brochure sur le délire de la jalousie, sur le délire systématisé et la paranoia, sur les dégénérés persécutés-persécuteurs, les processifs, qu'en bon portugais ils appellent 'demandistas' (chicaneurs), paraissent plutôt faits dans le but d'éclairer l'opinion publique portugaise, les gens du monde, afin de bien les convaincre que Josepha était une aliénée [...]» Annales médico-psychol., II, 290 - M.C.
1913 - «Victor Parant fils, dans sa thèse, a insisté sur le délire de jalousie comme manifestation initiale de la démence sénile [...] On peut donc rencontrer une psychose interprétative revêtant la forme d'un délire de jalousie et symptomatique d'un délire de préjudice présénile.» G. Demay et L. Libert, Les délires de jalousie. Essai de classification, in Annales médico-psychol., II, 416-7 - M.C.
délire de disculpation loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «La malade que nous voulons présenter est porteuse d'un syndrome mélancolique dont l'originalité réside dans ce fait que le système cohérent de ses idées anormales, au lieu d'échafauder des affirmations et des preuves de son indignité et de sa culpabilité, s'efforce de proclamer et de démontrer sa parfaite et permanente honorabilité. C'est, peut-on-dire, un 'délire de disculpation' chez une mélancolique. [...] Le délire de disculpation est le terme qui nous semble le mieux convenir pour désigner ces états de résistance du mélancolique aux idées de culpabilité qui l'assiègent dont parle Kraepelin.» P. Courbon et J. Magnand, Délire de disculpation, Soc. médico-psychol., 31 janv., in Annales médico-psychol. , I, 138 et 144 - M.C.
délire de métempsychose loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1913 - «[...] l'épileptique n'est dépourvu ni d'attention, ni de force dialectique, ni de logique : ces sensations lointaines, qu'il reconnaît siennes, mais qu'il ne sait à quoi rattacher, il les travaille longuement ; il en vient à croire - logiquement - qu'il les a vécues dans une autre vie ou dans un autre monde ; et il élabore un délire qu'on pourrait appeler de métempsychose. J'en ai observé [...] un très bel exemple [...] L'épileptique qui a édifié ce délire affirmait avoir vécu dans la planète Mars, et il en donnait pour preuves des souvenirs précis mais impossibles à incorporer à sa vie terrestre, et les émotions de sa jeunesse et de son adolescence, profondément imprimées dans sa sensibilité, mais dont les occasions et les concomittances réelles avaient disparu.» M. Ducosté, La démence épileptique, in Annales médico-psychol., II, 576 - M.C.
délire de préjudice loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - GLLF, 1968, Lar. ; GR[85], ø d ; absent TLF ; in Moor [1966].
1913 - «Victor Parant fils, dans sa thèse, a insisté sur le délire de jalousie comme manifestation initiale de la démence sénile [...] On peut donc rencontrer une psychose interprétative revêtant la forme d'un délire de jalousie et symptomatique d'un délire de préjudice présénile.» G. Demay et L. Libert, Les délires de jalousie. Essai de classification, in Annales médico-psychol., II, 416-7 - M.C.
délire des gouvernantes loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1909 - «MM. Blondel et Camus apportent deux observations du 'délire des gouvernantes', modalité délirante de la paranoïa dans laquelle se succèdent des idées érotiques, mégalomaniaques et de persécution.» R. Dupouy, c.r. : Blondel et Camus, in Annales médico-psychol., II, 206 - M.C.
délire dépressivo-maniaque loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - In titre : Trad. : Dr W. Stevens, Délire dépressivo-maniaque (Maniac-depressive insanity), cité in Journ. de psychol., 2e année, 79 - M.C.
délire interprétato-hallucinatoire loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1912 - In titre : A. Gallais, Délire interprétato-hallucinatoire, in Annales médico-psychol., I, 155 - M.C.
délire interrogatif loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1926 - «Le sentiment d'étrangeté du délire interrogatif n'est point la manifestation d'un état confusionnel. Ces interprétateurs sont au contraire très lucides, très présents, très attentifs aux moindres détails. C'est même souvent leur hyperattention, fille de leur inquiétude soupçonneuse, accompagnée d'associations d'idées automatiques, de réminiscences spontanées, qui les trouble et les empêche d'y voir clair.» J. Capgras et X. Abély, Le délire interrogatif, in Annales médico-psychol., I, 18 - M.C.
délire malicieux loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1877 - «[...] qu'il me soit permis, cependant, de réclamer contre l'application toujours fâcheuse, dans la pratique, de cette expression [l'hystérie] certains états d'esprit, à certains troubles psychiques que je crois devoir désigner sous le nom d'état et de délire malicieux.» Dr Dally, De l'état et du délire malicieux, in Annales médico-psychol., II, 356 - M.C.
1927 - «Le titre Délire malicieux a été employé pour la première fois par Dally en 1877 dans un article des Annales médico-psychologiques et repris plus récemment par Dupré pour désigner une méchanceté morbide et systématique se traduisant par de mauvais tours, des espiègleries, des comédies, des simulations ou des mensonges nuisibles ou cruels, et quelquefois par des violences préméditées, tous actes généralement accomplis avec habileté et en vue de se faire remarquer.» Capgras, Dupouy et Briau, in Annales médico-psychol., II, 360 - M.C.
délire maniaco-dépressif loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1901 - «[...] une forme de passage entre la démence précoce et la paranoïa, comme il en existe également entre la même affection et le délire maniaco-dépressif, la paralysie générale et la folie dégénérative.» Dr Nicoulau, c.r., in Annales médico-psychol., II, 325 - M.C.
délire mélancolique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - absent TLF.
Add.DDL :
*1900 - «Un état dépressif sera, s'il y a de l'incohérence, une dépression mélancolique simple, et s'il y a de la cohérence, un délire, le délire dépressif, dont la tendance peut être l'auto-accusation (Délire mélancolique) ou l'allo-accusation (Délire de persécution).» Ed. Toulouse, Classification des maladies mentales, in R. de psychiatrie, févr., numéro 2, 45 - M.C.
délire mélancolique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - DDL 29, 1900 ; absent TLF.
1852 - L. Delasiauve, in T. Haustgen (éd.), Observations et certificats psychiatriques au XIXe siècle, 249, 276 (Rueil-Malmaison, Ciba, 1985) - Fr. mod., oct. 1988, n° 3/4, 284.
délire onirique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - FEW (7, 355a), 1907, Lar. ; GLLF, cit. Fargue ; GR[85], cit. Maurois ; TLF, cit. Porot, 1975.
1900 - «Les cas sont classés en cinq groupes selon le syndrome prédominant : syndrome paranoïque, hallucinatoire ou non, psycho-dégénératif (dégénérés avec ou sans épilepsie), alcoolique (délire onirique ou de rêve), mélancolique, confusionnel (délire avec troubles psycho-sensoriels, états émotionnels, états de confusion secondaire).» Dr G. Gombault, De la démence terminale dans les psychoses, in Annales médico-psychol., I, 246 - M.C.
délire post-mélancolique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «André Mahon (thèse, Bordeaux 1896) signale la fréquence des troubles de la sensibilité générale dans les psychoses séniles et la démence. Anglade les note dans le délire post-mélancolique à caractère dépressif correspondant au délire des négations de Cotard, ou au délire hypocondriaque de Morel et aussi dans les délires secondaires qui ne dérivent pas de psychoses mélancoliques.» Dr G. Gombault, De la démence terminale dans les psychoses, in Annales médico-psychol., I, 244 - M.C.
délire post-onirique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - In titre : E. Dupré et R. Charpentier, Fugue hallucinatoire, avec ictus épileptique intercurrent, au cours d'un accès subaigu chez un alcoolique chronique. Persistance du délire post-onirique, Congrès belge de neurol. et de psychiatrie, 26-27 sept., in L'Encéphale, numéro 12, déc., 680 - M.C.
délire post-émotionnel loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1907 - «Les états oniriques, en effet, semblent coïncider le plus généralement avec des auto-intoxications (délires post-émotionnels, confusions, urémie, etc.) [...]» Dr G.-G. de Clérambault, Ivresse psychique avec transformation de la personnalité, in Annales médico-psychol., II, 394 - M.C.
délire schizophrénique loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1913 - «En résumé, le schizophrène est un rêveur qui paraît éveillé : la seule différence entre l'état de rêve et l'état de délire schizophrénique consiste en une plus forte scission de la personnalité chez le délirant, lequel semble communiquer davantage que l'homme endormi avec la réalité, mais au fond s'ordonne plus intensément que lui à la contemplation de ses constellations délirantes, et fait de son occupation intérieure (autisme) sa vie habituelle.» E. Régis et A. Hesnard, La doctrine de Freud et de son école, in L'Encéphale, numéro 5, mai, 475 - M.C.
1914 - «Enfin toutes les lois précédentes agissent grâce à une surdétermination fréquente de l'idée délirante du complexe exprimé. Il faut, pour déterminer une formation psychique isolée tel qu'un des complexes décrits comme noyau des délires schizophréniques, une série illimitée d'actions psychiques agissant dans le même sens et s'exprimant par une résultante symbolique unique.» A. Hesnard, Les théories psychologiques et métapsychiatriques de la démence précoce, in Journ. de psychol., 11e année, 51 - M.C.
délire systématisé loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - FEW (12, 505a), GLLF, 1933, Lar. ; TLF, Lex.[79], GR[85], ø d ; in Garnier-Del. [1912].
Add.DDL :
*1900 - «Le phénomène de l'écho de la pensée ne s'observe pas seulement dans le délire systématisé. A la suite de fortes hémorrhagies nasales, un homme éprouve des bourdonnements dans l'oreille, 'comme un bruit d'écluses'. Plus tard, ce sont les chuchotements d'une conversation. Mais, remarquons-le, la systématisation ne se fait pas : le murmure reste indistinct et dénué de sens. Enfin, les paroles entendues résonnent en lui sans fin, il les répète comme un écho [...]» M. Ducasse et A. Vigouroux, Du délire systématisé, in R. de psychiatrie, mars, numéro 3, 79 - M.C.
*1900 - «Schüle, dont la classification présente des analogies avec celle de Krafft-Ebing, divise les psychoses selon qu'elles surviennent chez l'individu à développement organo-psychique complet. (Psycho-névrose dont le cerveau peut être valide (manie et mélancolie), invalide (manie grave, délire systématisé, démence primitive, folie névrosique) [...] ou chez l'individu à développement organopsychique incomplet (folie héréditaire, délire systématisé originel, idiotie).» Ed. Toulouse, Classification des maladies mentales, in R. de psychiatrie, févr., numéro 2, 41 - M.C.
*1902 - «Les développements que donnent les auteurs à la fin de la brochure sur le délire de la jalousie, sur le délire systématisé et la paranoia, sur les dégénérés persécutés-persécuteurs, les processifs, qu'en bon portugais ils appellent 'demandistas' (chicaneurs), paraissent plutôt faits dans le but d'éclairer l'opinion publique portugaise, les gens du monde, afin de bien les convaincre que Josepha était une aliénée [...]» Annales médico-psychol., II, 290 - M.C.
délire systématisé loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - DDL 29, 1900 ; FEW (12, 505a), GLLF, 1933, Lar. ; TLF, GR[85], ø d.
1895 - Hamel et Billaud, Démences vésaniques avec personnalité dissociée au cours de délires systématisés anciens, in Congrès des médecins aliénistes et neurologistes [...] Clermont-Ferrand, 523 (Masson) - Fr. mod., oct. 1988, n° 3/4, 284.
délire à éclipse loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF ; in Porot (- à -s) [1952].
1906 - «[Sous le nom de délires à éclipse, M. Legrain (1) décrit cliniquement des états délirants aigus ou subaigus, ou plus ou moins prolongés, variés dans leurs formes, d'apparence transitoire, le plus souvent à retours périodiques, semblables enfin à eux-mêmes dans leur réapparition, puisqu'ils continuent le premier état délirant qui se trouve complété ou développé [...] [Note] (1) Legrain, Eléments de médecine mentale appliqués à l'étude du droit, Rousseau, 1906, p. 175.]» In R. Benon et E. Gelma, Les délires à éclipse chez les alcooliques, Soc. médico-psychol., 27 avr., in Annales médico-psychol., II, 78 (1908) - M.C.
1910 - «La faiblesse mentale est donc sous-jacente aux délires à éclipse.» Dr Legrain, Les Folies à éclipses, 101 (Bloud), cité in Journ. de psychol., 7e année, 381 (1910) - M.C.
négation (délire de -) loc. nom. m. PSYCHOPATHOL. - R, GLLF, 1959 ; Lex.[75], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1912 - «Syndrome vésanique caractérisé par un état anxieux [...]» Garnier et Delamare, Dict. des termes techniques de méd. (5e éd., Maloine) - J.Gh.
pseudo-délire n.m. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1913 - In titre : M. Truelle et J. Eissen, Pseudo-délire par auto-suggestion chez un obsédé, in Annales médico-psychol., I, 591 - M.C.