Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
défense (hors de -) loc. adj. ÉVÉN. - L, R, ø d ; absent TLF.
1785 - «Il casse une bouteille légère de verre blanc sur le visage de la fille, attachée et hors de défense [...]» SadeLes 120 journées de Sodome, part. 3, t. 2, 246-7 (Coll. 10/18, 1975) - R.R.
défense du consommateur loc. nom. f. ÉCON. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1912 - «La défense du consommateur. Ce mot ["factice"] est la seule défense que nous possédions à l'heure actuelle contre la fraude : nous le devons à la loi Riou promulguée l'année dernière et que nous devons tous connaître. A nous, consommateurs, à guetter l'étiquette révélatrice, si faiblement collée qu'elle peut être facilement enlevée par le vendeur au moment où le flacon [de miel] nous est offert ; nous avons un moyen d'être moins volé et moins empoisonné, usons-en.» Bull. des Ligues sociales d'acheteurs, 2e trim., 73 - P.E.
névrose de défense loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1900 - «M. le Dr Bresler a rapporté une autre observation non moins intéressante qui a pour titre : Contribution à l'étude de la maladie des tics convulsifs [...] (Neurol. Centralbl., 1896, numéro 21) [...] L'auteur admet la théorie d'Oppenheim, pour lequel la maladie est une 'névrose de défense' (Abwehr neurose). Sous l'influence d'une émotion, le sujet fait un geste, pousse un cri de défense, - et ce geste et ce cri se répètent chaque fois que l'émotion se reproduit, et même plus tard automatiquement, en l'absence de toute émotion.» P. Sérieux, Soc. médico-psychol., 29 janv., in Annales médico-psychol., I, 436 - M.C.
réaction de défense loc. nom. f. PSYCHOL. - TLF, cit. J. Bousquet, 1935-36.
1902 - «Un de mes malades, qui présentait au plus haut point les phénomènes du négativisme moteur, semblait totalement anesthésique et analgésique [...]. A la suite de l'un de ces examens, le malade est pris d'un de ces rires explosifs, bien connus dans les cas de ce genre. L'infirmier qui le reconduisait lui en demande la cause, et il répond alors : 'C'est parce qu'on m'a piqué dans le dos ; quelle drôle d'idée !' L'excitation avait donc été perçue sans qu'aucune des réactions habituelles fût venue en témoigner ; au lieu d'un fait d'anesthésie, ce n'était plus qu'un fait d'opposition négativistique, qui souvent n'est ainsi qu'une réaction de défense R. Semelaigne, c.r., in Annales médico-psychol., II, 462 - M.C.
1921 - «[...] effets de 'sublimation' : telle la tendance morbide de certains 'puritains' a être choqués par la moindre allusion à la vie sexuelle, tendance qui ne serait au fond qu'une 'réaction de défense', inconsciente et excessive, contre les tentations sexuelles.» S. Jankélévitch, in FreudIntrod. à la psychanalyse, Préf., 20-21 (Payot, 1947) - M.C.
zone de défense loc. nom. f. MILIT. - GLLF, 1964, Lar. ; Lex.[75], PR[77], ø d ; absent TLF.
1943 - «[...] defensive zone, zone de défense Military Dictionary, 368 (U.S. Government Printing Office) - P.E.