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degré n.m. MATH. - FEW, 1752 ; L, DG, PR[67], BW5, ø d.
Compl. TLF (mêmes réf., ø texte) :
1691 - «Ainsi 'aa' est une Puissance du second degré, parce qu'elle a deux lettres 'a'.» OzanamDict. math. (Paris) - M.Ch.
degré n.m. MÉD.  "d'une brûlure" - TLF, 1823, Jacques ; L, GLLF, 1863.
*1834 - «[...] les chlorures ne sauraient être employés avec avantage que dans les brûlures du premier et du deuxième degré seulement, les brûlures plus profondes exigeant ensuite un autre mode de traitement.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, V, 182 - C.H.
*1844 - «Les pathologistes ont admis des degrés de brûlure différents de ceux que Boyer a adoptés. Heister et Callisen veulent quatre degrés, rougeur, phlyctènes, eschare, carbonisation. Dupuytren distinguait six degrés, rubéfaction, vésication, eschare du corps muqueux, eschare de toute l'épaisseur de la peau, eschare des muscles, carbonisation du membre.»Ph. Boyer, in BoyerTraité des maladies chirurgicales, I, 608 - C.H.
degré n.m. ALP.  "cotation d'escalade" - RSp., ø d ; absent TLF.
1933 - «Sur cette falaise [des Gaillands, à Chamonix], la nature a providentiellement réuni tous les passages classiques de l'escalade, du plus facile au plus difficile (du 1er au 6e degré, dirait-on en Europe Centrale).» La Montagne, numéro 253, nov., 348 - C.T.
degré n.m. ALP.  "degré de difficulté" - RSp., 1934, Man. du CAF ; in Ga [1970] ; absent TLF.
1925 - «Au-dessus d'un certain degré de difficulté qui est assez vite atteint, les montagnes exigent, de ceux qui veulent les gravir en hiver, de sérieuses qualités d'alpinistes. Il faut être alpiniste-skieur et non seulement skieur.» La Montagne, numéro 187, déc., 18 - C.T.
degré n.m. MÉD. "gravité d'une brûlure" - TLF, 1823, Jacques ; DDL 8, 1834 [repris in GR] ; L, GLLF, 1863.
1818 - «[...] j'allai avec Lachat chez une malade qu'il avait, une jolie personne qui s'est fait une brûlure au bras du 2eme degré J.V. Audoin, Journ., 21 avr., in Hist. de la méd., VIII, n° 11, 52 - P.E.
degré n.m. GÉOGR. "unité de latitude ou longitude" - TLF, 1585, Du Fail ; DHR, 1585 ; GR[85], cit. Pascal ; GLLF, ø d.
1557 - «Apres ont decouuert Aborney, cinq degrez de l'equinoctial, & plusieurs isles des Noirs, iusques à ce qu'ils sont paruenuz aux Moluques [...] Ces isles distantes de nostre France de plus de cent octante degrez, & situées droit au Ponent, produisent force bonnes espiceries [...]» A. ThevetLes Singularités de la France antarctique , 92 r° et 92 v° (Le Temps) - P.E.
degré (au deuxième/second -) loc. adv. INTELL. "fig." - TLF, cit. Proust, 1922 ; GR[85], cit. Barthes, 1977.
1916 - «Chez le prince, qui a reçu de ses ancêtres le don et la vision politiques, le sens des nécessités de l'Etat acquiert l'acuité et la soudaineté d'un réflexe. Mais peut-on parler ici d'inconscience, alors qu'il s'agit tout au contraire de phénomènes d'hyperconscience, d'ellipses, de raccourcis de conscience, et comme d'une réflexion au second degré ? [...] Les lois naturelles, découvertes par les uns et par les autres, ne sont ainsi qu'une nouvelle façon de répartir et de nommer, au second degré, les hérédofigures. La science est un langage au second et au troisième degré L. DaudetL'Hérédo, 119 et 281 (Nouv. libr. nat.) - M.C.
degré Bleau loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «[...] le 3e 'degré Bleau' correspond en réalité au 4e degré montagne.» BessièreL'Alpinisme, 76 (P.U.F.) - C.T.
degré montagne loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «[...] le 3e 'degré Bleau' correspond en réalité au 4e degré montagne BessièreL'Alpinisme, 76 (P.U.F.) - C.T.
demi-degré n.m. MÉTROL.  PHYS. - TLF, ø d.
1760 - «[...] quelquefois même le thermomètre plongé, et, pour ainsi dire, appliqué sur le coeur [d'un lérot], a baissé d'un demi-degré ou d'un degré, la température de l'air étant à onze.» BuffonHist. nat., Quadrupèdes, II, 261 (Sanson) - P.E.
deuxième degré loc. nom. m. ALP.  "cotation en escalade libre" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Des alpinistes redescendent dans la vallée, heureux d'une jolie course qu'ils ont menée à bien. Il faisait beau ; l'escalade était franche, intéressante et variée. Mais quand, rentrés à l'hôtel, ils entendent dire dédaigneusement que leur course est classée en deuxième degré, tout au plus en troisième inférieur, ils sentent malgré eux une ombre froide descendre sur leur joie.» La Montagne, numéro 277, mars, 119 - C.T.
huitième degré loc. nom. m. ALP.  "Iron. (à cette époque)" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «A nos maîtres en escalade pour qui le 7e et le 8e degré n'ont plus 'de secret : les singes du Djurdjura'.» La Montagne, numéro 284, déc., 429 - C.T.
passage de (xième degré) n.m. ALP. - TLF, cit. Frendo, 1947 ; [RSp. : s.v. passage, in cit., 1969, Le Monde].
1935 - «[...] de la petite plate-forme, passage de 6e supérieur [...] Par une belle escalade sur des rochers gris (3e avec passages de 4e) [...] on atteint la gorge supérieure [...]» R. alpine, numéro 302, 112-3 - C.T.
1944-45 - «Sialouze, c'est uniquement x passages de 4 + 1 passage de 5 [...]» La Montagne, numéro 329, juill. 44-sept. 45, 11 - C.T.
1946 - «[...] course toute en escalade libre et comportant plusieurs passages de V [...]» La Montagne, numéro 334, oct.-déc., 88 - C.T.
*1958 - «La face nord du pic oriental de la Cascade présente, elle, l'intérêt de quelques passages de IV et de V [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 18, juin, 226 - C.T.
septième degré loc. nom. m. ALP.  "Iron. (à cette époque)" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «A nos maîtres en escalade pour qui le 7e et le 8e degré n'ont plus 'de secret : les singes du Djurdjura'.» La Montagne, numéro 284, déc., 429 - C.T.
sixième degré loc. nom. m. ALP.  "cotation en escalade libre" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «Sur cette falaise [des Gaillands, à Chamonix], la nature a providentiellement réuni tous les passages classiques de l'escalade, du plus facile au plus difficile (du 1er au 6e degré, dirait-on en Europe Centrale).» La Montagne, numéro 253, nov., 348 - C.T.
1935 - «Attaque de la paroi le 28, à 15 heures ; bivouac sur l'éperon vers la deuxième tour ; arrivée à la crête vers 20 heures, après dix-sept heures d'efforts. Grande course du sixième degré, d'après les premiers ascensionnistes ; les soixante derniers mètres sont parmi les plus difficiles.» La Montagne, numéro 277, oct., 315 - C.T.
1939 - «Ceux-ci [les grimpeurs pyrénéens] seraient très heureux et très fiers que certains alpinistes, qui parlent de sixième degré comme d'une chose familière [...]» La Montagne, numéro 310, oct., 230 - C.T.