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défatiguer v.tr. SANTÉ - L, Rs, 1863 ; FEW (3, 434b ; rég.), ø d.
Rég. : Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1852 - «[Genève] Quand je serai défatigué, je repartirai [...]» J. Humbert, Nouv. glossaire genevois - GPSR, V, 158.
défatiguer (se -) v.pron. SANTÉ - L, ø d ; FEW, 20e, Lar. ; Rs, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1836 - «J'ai pris une fumigation de sureau pour me défatiguer la voix.» M. Dorval à Vigny. 18 juin - P.W.
*1870 - «Je me suis défatiguée par quelques minutes de sommeil.» Lar. GDUfigure dans : Guérin, 1892.
défatiguer (se -) v.pron. SANTÉ - TLF, cit. Goncourt, 1871.
Add.DDL 2 (1836)
*1854 - «[...] cet inconnu fait également tous les jours sa promenade sur les quais, quand ce ne serait que pour se défatiguer de ses cinq heures forcément assises.»Champfleury, Le Réalisme, ch. 1, 27 (M. Lévy, 1857) - J.S.
*1860 - «[...] j'étais sûr d'avoir pied, quand en voulant me défatiguer (car j'en avais assez) je fais un plongeon un peu chouette [...]»Tr. Corbière, Let., let. à son père, 4 juill., 1046 (Gallimard, 1970) - J.S.
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