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CLAQUAGE, subst. masc.
A.− MÉD., SP.
1. [En parlant d'un athlète ou d'un cheval] Déchirures de fibres musculaires ou tendineuses dues à un effort brutal et intense. Il se savait incapable, à la suite d'un claquage, de tenir son rang (L'Auto,18 sept. 1933, p. 4 ds A.-O. Grubb, French sports neologisms, 1937, p. 26; cf. claquer1II B 1).
2. P. ext., fam. Effondrement dû à une fatigue extrême, physique, nerveuse ou intellectuelle (cf. claquer1II C).
Rem. Attesté ds Lar. Lang. fr.
B.− Technique
1. ÉLECTR. Percement d'un isolant à la suite d'une tension excessive (cf. Journal de chim. et de phys., 1935, p. 142).
2. Cf. claquage cordonn. dér. sous claquer2.
Prononc. : [klaka:ʒ]. Étymol. et Hist. 1901 méd. sportive (Le Sport universel illustré, 21 déc., 810b ds Quem. Fichier). Dér. de claquer1*; suff. -age*. Bbg. Dub. Dér. 1962, p. 30. − Quem. Fichier.