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failli n.m. CHORÉGR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1861 - «Faillis [...]» A. Bournonville, Etudes chorégraphiques, 15 (Copenhague) - E.R.
1895 - «Nom d'un pas de danse exécuté de la manière suivante : placé à la cinquième position, le pied devant, marcher trois pas devant soi en précipitant ces pas et en les faisant les plus petits possible ; finir en pliant les deux genoux et rester dans cette attitude pliée. Ce pas représente le mouvement d'une personne qui risque de tomber à terre ; il se fait en avant, en arrière et de côté.» G. Desrat, Dict. de la danse (Genève, Slatkine, 1980) - E.R.
failli gars loc. nom. m. non conv. , rég. MAR. "mauvais marin" - FEW (3, 387b), GLLF, 1849, Besch. ; L, TLF, ø d.
1832 - «Failli-gas, failli-chien, failli-matelot sont des termes de mépris dont les marins des côtes de Bretagne se servent pour caractériser les hommes sans valeur personnelle.» A. Jal, Scènes de la vie maritime, I, 156 (Gosselin) - P.E.
failli-chien n.m. non conv. , rég. "mauvais marin" - TLF, cit. Corbière, 1873.
1832 - «Failli-gas, failli-chien, failli-matelot sont des termes de mépris dont les marins des côtes de Bretagne se servent pour caractériser les hommes sans valeur personnelle.» A. Jal, Scènes de la vie maritime, I, 156 (Gosselin) - P.E.
1834 - «C'est toujours des molasses, des faillis chiens !» L. Reybaud, in R. maritime, I, 193 - P.E.
failli-chien n.m. MAR. "mauvais marin" - TLF, cit. Corbière, 1873.
• faï-chien - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1832 - «Deux faï-chiens, deux carognes...» E. Sue, Le Bonnet de maître Ulrik, in E. Sue, La Coucaratcha, I, 8 (Meline) - P.E.
1832 - «[...] dix faï-chiens de Normands [...]» E. Sue, Voy. et aventures sur mer de Narcisse Gelin, in E. Sue, La Coucaratcha, 47 - P.E.
1832 - «[...] une frégate commandée par un vrai faï-chien [...]» E. Sue, Le Présage, in E. Sue, La Coucaratcha, 104 - P.E.
failli-matelot n.m. non conv. , rég. MAR. "mauvais matelot" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1832 - «Failli-gas, failli-chien, failli-matelot sont des termes de mépris dont les marins des côtes de Bretagne se servent pour caractériser les hommes sans valeur personnelle.» A. Jal, Scènes de la vie maritime, I, 156 (Gosselin) - P.E.
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